Né à Barcelone, Quim Bonal a commencé ses études musicales à l’école L’ARC de Barcelone. Il a commencé à jouer du piano avec Mª Teresa Albiol et plus tard avec Albert Romaní, chanteur. Plus tard, il a rencontré Eulàlia Solé et a étudié avec elle pendant six ans.

En 1992, il a travaillé à Paris où il s’est installé pendant une longue période. Après avoir reçu les conseils de Marian Ribizcky, il a poursuivi ses études de piano avec Ramzi Yassa. Trois ans plus tard, il rencontre Ethéry Djakeli avec qui il renouvelle toutes ses connaissances techniques pour se préparer au monde de la musique, en s’appuyant sur les compléments et les bouleversements apportés par Marie Jaëll, pianiste alsacienne amie de Franz Liszt, qui a arrêté sa carrière pour construire une approche alternative plus profonde du piano et de la musique.

Il a été sélectionné par le « Concours musical de France ».

Quim Bonal s’est penché sur la question du « Toucher » et, petit à petit a cherché un style plus souple dans la pratique de l’interprétation.

L’une des prestations les plus mémorables de Quim Bonal est celle des Variations Goldberg de J.S. Bach à Calella de Palafrugell, où le public a été très ému par son interprétation.

Bonal dit : « En musique, il y a tout lieu de croire en la possibilité de conserver les extrêmes les plus ouverts, les plus irréductibles, et de leur donner des marges de liberté pour effectivement montrer chaque élément en jeu. C’est le grand enseignement de la musique ».

.

.